Pour la plupart des cinéphiles, Françoise Lebrun reste l’incarnation de Veronika, l’héroïne de La Maman et la putain de Jean Eustache, un des films français majeurs des années soixante-dix. Au-delà des questions que pose l’identification d’une actrice à un rôle, ce documentaire trace le portrait d’une comédienne douée d’un rapport exceptionnel au langage et traite de la manière dont elle vit aujourd’hui ses choix et son métier. Entre plateaux et studios, il s’agit de l’observer telle qu’elle est.